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reise-suk-400C’était un samedi de tension quand nous sommes partis pour un petit village dans le sud de la France avec le nom « Digne-les-Bains ». Neuf filles et un garçon avec deux professeurs de français étaient nerveux et nous nous réjouissions de revoir nos correspondants. L’avion est parti pour Nice et le temps était formidable ; soleil et 25 dégrées.

Comme c’était non seulement un échange, mais aussi notre voyage scolaire, nous sommes restés à Nice un jour et demi au début du voyage et un autre jour et demi à la fin. Notre auberge s’appelait « Hotel Altair ». Pour 18 € par nuit, même si c’était un peu vieux et une souris nous a surpris dans la nuit, c’était assez propre. Nous avions beaucoup de temps libre à Nice pour faire du shopping, manger beaucoup de spécialités méditerranéennes et visiter la plage caillouteuse.
Le Train des Pignes allait nous ammener envers Digne – d’une ville de plus de 340.000 habitantes à un village de 18.000 !
Nos corrès nous attendions à la gare et il y a eu la première rencontre avec les familles françaises ; ce qui était gentil et affectueux. Dans la soirée, il y avait une petite fête franco-allemande, mais la fatigue était considérable – tous les Allemands étaient trop fourbus.
La semaine était regorgée d’activités. Par exemple le travail avec nos vidéos du projet franco-allemand ou les visites du joli centre-ville de Digne. Les excursions les plus magnifiques étaient la visite de Marseille (où nous avons vu le MUCEM et le centre-ville) et le tour guidé des montagnes proches de Digne avec une randonnée de deux heures et de belles vues sur le paysage.
D’autres visites incluaient Manosque avec l’usine de l’Occitane, le village de Moustiers avec une visite de l’atelier Lallier et des musées, par exemple le musée « Alexandra David-Néel ». Après une semaine agitée, il a fallu dire « Au revoir » à nos familles françaises. C’était triste, mais notre deuxième visite de Nice nous a fait oublier le chagrin.
La grande majorité des élèves allemands et français sont remarquablement hereux avec cet échange. La conséquence est que nous savons parler le français plus couramment, que nous avons trouvé des amis internationaux et (bien sûr) des expériences incroyables et inoubliables !

Isabelle Buchholz, Profil Sprache und Kultur Jahrgang 12